Paroles de Galère, comment ça marche ?

Un festival ouvert

Chaque mois, les associations et bénévoles du festival se réunissent à l'ancien centre social de la cité Picon (bâtiment F). Ces réunions sont publiques, ouvertes à tou-te-s celles et ceux qui veulent participer. Entre deux réunions, une équipe de coordination et des commissions et/ou groupes de travail se réunissent pour faire les tâches courantes et préparer le festival.

Un festival auto-financé et organisé collectivement


Paroles de Galère ne bénéficie d'aucun financement public. Par souci d'indépendance politique et donc de liberté d'expression, nous ne demandons aucune subventions. Dès lors, la participation de chaque bénévole, association ou artiste se fait à titre bénévole et militante. A l'heure où la démocratie est si souvent un vain mot, en particulier dans nos quartiers, paroles de galère tente d'expérimenter un fonctionnement collectif ou chacun participe aux décisions du festival, qu'il s'agisse de la programmation, du budget ou toute autre question.

Le prix libre ... ?


Pour financer la venue des artistes, le matériel, la nourriture pour les bénévoles (etc.), il faut donc bien trouver de l'argent ! Nous expérimentons pendant le festival le principe du prix libre : chacun donne ce qu'il peut, ce qu'il veut pour entrer dans le festival. Vous pouvez donc donner 5 centimes comme 100 euros. Ayez simplement en tête qu'organiser un tel festival coûte de l'argent et que nous avons donc besoin de rentrer dans nos frais pour que la banque ne nous tombe pas dessus !


Ce principe permet que chacun, quelque soit ses moyens, puisse avoir librement accès à la culture.